Le Shiatsu traite quels genres de problèmes ?
Les séances de Shiatsu permettent avant tout de lutter contre le stress et classiquement en accompagnement d’un traitement médical. Ainsi le Shiatsu offre un large panel de cas d’utilisation.
Et combien de séances faut-il ?
La question sous-tend la présence d’un problème à résoudre. La durée d’un traitement dépend alors de son niveau d’ancrage et sa persistance. D’une façon générale, un traitement peut alors s’effectuer tout aussi bien en une séance qu’en six séances. Bien sure, ceci est très variable, par exemple, certains cas nécessiterons peut-être un accompagnement intense de 4 séances en deux semaines, alors que d’autres auront pour objectif d’aider un changement de vie par une séance toute les trois semaines.
Toutes les séances se ressemblent-elles ?
Vu de l’extérieur, la forme des séances ne change guère. Vu de l’intérieur, le jusha (receveur) et le shiatsuki (praticien) ressentent des grandes variations entre chaque rencontre avec des actions qui peuvent accéder à différents niveaux de profondeur.
il y t-il de contre-indication médicale ?
La question ne se pose guère car l’acte médicale est du ressort du médecin, le praticien Shiatsu ne s’y substitue aucunement. Ceci étant dis, pour chaque patient et chaque cas, il y a évidement des gestes à éviter. Le Shiatsu n’est pas recommandé en cas d’urgence, pendant les moments postopératoires d’actes chirurgicaux lourds (greffe, …) et lors de cas particuliers. Pour d’autres raisons, il faut éviter que le jusha (receveur) ait une maladie contagieuse.
Le meilleur moment pour une séance ?
Il est important de choisir un moment qui permettra un calme environnent comme pour se permettre une coupure momentanée avec le monde. Il est profitable que le jusha (receveur) n’ait pas bu d’alcool avant la séance.
Quelle tenue faut-il porter ?
En haut du genre T-shirt ou sweet-shirt, un pantalon en toile souple et sans ceinture est l’idéale. Une paire de chaussettes est nécessaire spécialement pour les frileux.
Le Shiatsu fait-il mal ?
Durant les séances, le shiatsuki (praticien) ressent les limites du jusha (receveur). A ce stade, les douleurs qui peuvent alors apparaitre, sonnent plus comme des lumières à des endroits dont on avait oublié l’existence, la respiration reste calme.